• Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire

  •  




     
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    2 commentaires

  • Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    2 commentaires
  •  Hiroshima (Georges Moustaki)

    Par la colombe et l'olivier,
    Par la détresse du prisonnier,
    Par l'enfant qui n'y est pour rien,
    Peut-être viendra-t-elle demain.
    Avec les mots de tous les jours,
    Avec les gestes de l'amour,
    Avec la peur, avec la faim,
    Peut-être viendra-t-elle demain.
    Par tous ceux qui sont déjà morts,
    Par tous ceux qui vivent encore,
    Par ceux qui voudraient vivre enfin,
    Peut-être viendra-t-elle demain.
    Avec les faibles, avec les forts,
    Avec tous ceux qui sont d'accord,
    Ne seraient-ils que quelques-uns,
    Peut-être viendra-t-elle demain.
    Par tous les rêves piétinés,
    Par l'espérance abandonnée,
    À Hiroshima, ou plus loin,
    Peut-être viendra-t-elle demain,
    La Paix !
    Partager via Gmail Yahoo!

    2 commentaires

  • Le voici l'été
    Hélas plus jamais pour eux
    Ont bien trop vécu

    Loïc, Douarnenez, mai 2013
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    1 commentaire


  • RENCONTRE ENCHANTÉE AVEC BRUNO BREL (AVRIL 2013)

    RENCONTRE ENCHANTÉE AVEC : BRUNO BREL   Si un BREL peut en cacher un autre, c'est avec un grand plaisir d'avoir Rencontré BREL BRUNO de son Prénom. Bien sur, des ressemblances sont inévitables, mais BRUNO BREL a aussi...
    Cliquez ici pour lire la suite 

    Un énorme MERCI à Jean-Luc HERIDEL, 
    pour son blog "La lettre aux Z'Enchantées" :
    Partager via Gmail Yahoo!

    4 commentaires


  •      Il était une fois un petit garçon, dans une grande maison, qui ne rêvait surtout pas de devenir grand. Sa vie n'était que désespoir, malheurs et pleurs, et tout, autour de lui, lui jetait à la figure que plus tard ce ne serait pas prêt de s'arranger…
         Il était petit non seulement par l'âge mais aussi par la taille. Il lui semblait être minuscule, microscopique même, dans un appartement vide, au dernier étage d'un immeuble dont il ignorait le nombre d'étages. Il n'était pas seul, non : Ses parents, qui passaient tout leur temps - souvent endormis - devant un poste de télévision, lui donnaient des vieux illustrés, des crayons de couleur et du papier, sur lesquels il se jetait comme un chien sur un os. Je ne vous ai pas dit que s'il était petit, cela ne l'empêchait nullement de réfléchir, beaucoup, et de lire, beaucoup. Il dévorait les livres qui évoquaient des lieux bizarres, des sortes de paradis, où les papas et maman se parlaient, souriaient, parlaient et jouaient avec leurs enfants. Des paradis où on pouvait voir des humains marcher dans les rues de la ville gigantesque, se croiser en se saluant. Ils s'arrêtaient, même, parfois, quand ils promenaient leur chien, pour parler du temps, et ils repartaient, satisfaits. L'enfant rêvait en lisant des mots comme « école ouverte, bonheur, amitiés, rire, imagination, ... ».

         Un jour, exceptionnellement (car il fallait bien qu'on le sorte pour lui faire essayer un pantalon), il prit avec sa maman l'ascenseur qui descendit, en un temps interminable, jusqu'au trottoir. Le petit garçon avança un pied, puis l'autre, prudemment, comme s'il allait se baigner dans une eau froide. Puis il osa, et se prit à marcher avec de plus en plus talent. Sa maman eut bientôt de la peine à le suivre, car il courait à présent, et elle ne pouvait même plus regarder les vitrines, seules taches de couleur dans ce décor « béton et bitume ».

         L'enfant se fatigua vite, car il n'avait pas l'habitude. Il ralentit, il traînait à présent les pieds, et ses idées reprirent le dessus. Perdu dans ses rêveries, il avait à présent les yeux mi-clos, il se rapprochait de la bordure du trottoir… Il trébucha et en un instant se retrouva allongé sur le ventre, la face tournée vers le caniveau, tout près d'une plaque d'égout. Un peu sonné tout de même, il n'entendit durant quelques instants qu'un bourdonnement puis, de plus en plus distinctement, une petite voix, charmante et pure comme celle d'une petite fille (ou peut-être d'une fée) :

    -        - « Je t'attendais, petit, je connais toutes tes pensées. Je les comprends très bien, car j'en suis une, moi-même ! Regarde, à ta droite ! »

    Il souleva lentement la tête : entre deux pavés, dans une fissure minuscule, une humble pensée, toute frêle, semblait lui sourire. Elle reprit :

    -« Je sais ton désespoir et ta tristesse. Mais je sais aussi que plus loin, mais si loin que tu ne peux y croire, d'autres fleurs vivent, croissent, je sais qu'au-delà de cette ville un autre monde existe, et que tu y as ta place, si tu le veux. C'est le moment, petit garçon, vis ta vie, cours, cherche ton ailleurs ! »

         Il se releva, et courut vers le soleil, fou de joie…

    Loïc, 13 avril 2013
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    2 commentaires
  • Je vous laisse imaginer ...

    ce qu'il leur raconte :














    et ce qu'elles vont rapporter à leurs copines ...
    (Sarlat, Dordogne, avril 2011)
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    2 commentaires
  • Après une parenthèse assez longue (nous avons "bûcheronné" à tout-va durant trois semaines !), voici un épisode - une "simple anecdote" ? je ne le pense pas - de ma vie.
    ..........................


    « Un livre… »
    Le livre, cet ami, même s'il n'est que de papier… Il est souvent, lorsqu'on en a adopté un, le soutien, une béquille parfois, qui aide à tenir, à soutenir ses convictions, à corriger ce qu'on se prend à considérer comme des déviances, des mauvaises pentes…
    Cet adolescent, à 16 ans, a quitté sa ville, pour débuter ailleurs - oh, ce n'est pourtant pas bien loin, 80 km - un apprentissage professionnel. Il est souvent, et même de plus en plus en permanence, complètement dépassé. Étourdi, perdu, par tout ce qui l'entoure, par tout ce qu’il découvre, de jour en jour, de la vie du travail, de la très prochaine et terrifiante sortie de l'école. Il reçoit aussi, en pleine figure, les contradictions, et même les virulentes attaques contre ce qu'il a toujours entendu à la maison. Famille très traditionaliste, avec laquelle il a souvent - avec plaisir d'ailleurs - discuté, inspiré sans doute par les récents événements de mai 1968. Il était déjà interloqué, désorienté : normal, dit-on, à 16 ans. Mais, face à ces points de vue, dans cette grande école, il perd toutes ses références, ses repères.
    Alors s'installe à son insu, la dépression. Grave, profonde, pas le « petit coup de déprime » passager.
    Il se trouve ce jour-là en cours de français, face à ce prof qu’il déteste, ce personnage imbu de lui-même et méprisant… Sujet du jour : « Vous avez choisi de partir vivre sur une île déserte, pour le restant de vos jours. Quel livre emportez-vous ? »
    Réponse immédiate, spontanée, évident, vitale : « LE Livre, la Bible »
    L'éclat de rire tonitruant du professeur l’a blessé à vie. Tant d'années plus tard, en est-il remis ? …

    Loïc R., mars 2013
    Partager via Gmail Yahoo!

    3 commentaires
  •  

    emprunté à : "Accordéon en Bretagne", ICI
    Partager via Gmail Yahoo!

    2 commentaires
  • Partager via Gmail Yahoo!

    3 commentaires
  • "Jean-Louis, ou le monologue du client" - Yves JAMAIT 
    (ou "faire de la solitude son ordinaire ...")
    in "Nos enchanteurs", ICI
    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire


  •  
    Ma crème au chocolat.

    Nous passons, lors d'une promenade familiale, devant "chez Touz", nous reniflons la bonne odeur du chocolat. Chez Touz, c'est la grande fabrique de petits gâteaux et de pâtisseries de toutes sortes. Mon frère, âgé de sept ans de moins que moi, est installé dans son landau. Pour Noël, nos parents nous offrent de nous asseoir pour déguster un chocolat, et j'admire la vitrine décorée d'un magnifique circuit de train électrique. À l'entrée, un Père Noël propose la photo traditionnelle en sa compagnie…
    On cuit du chocolat, aujourd'hui. Et j'ai réussi à trouver et recopier, dans un almanach Vermot, la recette de la crème au chocolat. J'ai simplifié à ma façon, pour avoir moins de vaisselle à faire, et la voici :
    Je chauffe un litre de lait dans lequel je verse trois ou quatre grandes cuillerées de chocolat Poulain (publicité gratuite). Je délaye dans un bol une belle cuillerée de Maïzena dans du lait, et, quand le chocolat bout dans la casserole, j'y verse cette poudre magique, qui cuit en quelques secondes. Je verse la crème dans des ramequins, c'est fini ! Je place à refroidir, mais le meilleur est lorsque je gratte le fond de la casserole : ce chocolat brûlant est un délice…
    Actuellement, je fabrique encore de temps en temps cette mixture, que je déguste devant la télé, et tout me revient : papa, dans sa lourde "canadienne", le landau aux toutes petites roues, le Père Noël, les dames chics qui font emballer de succulents gâteaux, et surtout l'extrême plaisir de se trouver là, en famille, uniques et isolés dans la foule des passants de la rue Jean-Jaurès. C'est sans nul doute ce plaisir que je retrouve lorsque je déclare goulûment : « Je vais faire ma crème ! »
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    2 commentaires
  • Vendée Globe. La commune de Gouesnac’h fière de la performance d’Armel

    Le bateau Banque Populaire figure en bonne place dans le bourg de Gouesnac'h, tout près de Quimper. Dans sa commune d’adoption, Armel Le Cleac’h compte de nombreux inconditionnels de la course au large.
    Si trois heures le séparent de François Gabart, il peut néanmoins s’enorgueillir d’avoir amélioré de 11 jours son précédent tour du monde. Un bel exploit au terme d’une incroyable course que l’on n’a pas manqué de commenter dans le village.
    « Tout le monde est satisfait et fier de ce qu’a accompli ce sportif de haut niveau, » souligne Michel Simon, le maire. « Armel Le Cleac’h termine à la seconde place, comme il y a 4 ans. Même si c’est un peu dommage, car il méritait autant que François Gabart. »
    Réception
    « Nous allons organiser une réception pour Armel et inviter toute la population, notamment les enfants des écoles. Comme il y a 4 ans, notre souhait est qu’il propose un film de 10 à 15 minutes qui montre les réalités du Vendée Globe », dit le maire.
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    4 commentaires





  •  
    Depuis des années, sa vie était un enfer. Il avait sur elle une emprise terrible, un pouvoir inexplicable. Il la dominait après l'avoir subjuguée, l'immobilisait dans ses velléités de révolte. Cela faisait longtemps que leur union n'était plus que souvenir, qu'ils n'étaient plus mariés que sur le papier. Il lui avait même déclaré un jour : « Tu sais, si je garde mon alliance, c'est seulement pour ne pas avoir une vilaine trace sur le doigt ! ». Elle avait bien tenté, de toutes ses forces, de « raccommoder les morceaux », comme elle disait à sa soeur, sa confidente. Mais rien n'y faisait. Ce n'était plus que fâcheries, bouderies, et l'existence de l'un était sans discontinuer malaise pour l'autre. Heureusement, il n'y avait pas d'enfants ! Cela aurait irrémédiablement décuplé leurs différents, leurs accrochages et leurs rancunes. Ils n'étaient même pas les vieux amants évoqués par Brel, car ils ne se souvenaient plus d’avoir été, un jour, amants…

    Ce jour-là, il se décida enfin à commettre l'irréparable : il partirait. Il avait préparé ses affaires, lentement, tranquillement, pour la narguer, pour jouir de son désarroi et de sa panique grandissante. Il la tenait par cette menace, depuis des lustres, jusqu'à ce jour de vérité où son départ était en fait une délivrance pour elle.

    -« Enfin, te voilà dehors ! cria-t-elle rageusement. Enfin tu disparais de mon existence ! Nous n'avons plus rien à nous dire, tu m'as fait trop fait souffrir !

    Il ne l'avait pas entendue, occupé à appeler un taxi. Il lui déclara seulement : « Garde tout, l'appartement, la voiture, je ne veux rien conserver de ce qui t’a appartenu !

    -« Ne t'en fais pas, répliqua-t-elle, dès que tu auras franchi cette porte tu auras disparu à jamais de ma vie, et je ne veux plus entendre parler de toi !

    La sérénité de l'homme l'exaspérait. Ils allaient donc se quitter ainsi, sans dispute, dignement. Ils n'allaient même pas se livrer à une énième scène dont ils avaient l'habitude. Tout était dit, tout était consommé.

    Elle allait vivre à présent comme si elle ne l'avait jamais connu. Elle ne chercherait jamais avoir de ses nouvelles, ah ça, non !

    -« J’y vais, dit-il simplement. Ce serait donc ses derniers mots. Il ne semblait ressentir aucun émoi, aucune détresse, et cela la gênait beaucoup : Elle n'aurait même pas ce plaisir ! Elle ne put s'empêcher de guetter un signe, un geste, un regard… Non, rien.

    Il était descendu, il s'en était allé. Elle avait simplement entendu ses pas dans l’escalier, comme d'habitude. Une voiture ralentissait. Elle se pencha à la fenêtre. Le taxi venait d'arriver. Elle claqua la porte et descendit l'escalier.

    Loïc Roussain
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    4 commentaires
  • Nous sommes allés voir "Alceste et la bicyclette" 
    au nouveau complexe Cinéville de Quimper.

    Le Cinéville : très impersonnel, immense "halle de gare" avec appel des gens, au micro, "Alceste, 8", etc ... bof. Pour moi, c'était tou comme "TGV 7654, quai 12 !"
    Avec, dès l'entrée, un immense comptoir (dont il faut bien sûr faire le tour, pas folle la guêpe) bourré de sucreries à engloutir pendant le film : ça, ça fait très Amerlock et très MacDo.
    "Alceste et la bicyclette" : avant le film, des pubs interminables et surtout un bruit infernal, à s'en boucher les oreilles. Je me suis dit que si le film continuait comme ça je serais obligé de quitter la salle.
    Le film : Tout est fait pour "faire du Lucchini", pour le mettre en valeur, très cabot. Une histoire assez conventionnelle finalement, souvent cousue de fil blanc, et un film ... très (trop) long, aux ficelles bien trop usées.
    Ce qui nous a horripilés : de plus en plus de gens, semble-t-il, pensent qu'ils vont obligatoirement au cinéma ou au théâtre pour rire. Cela nous est déjà arrivé plusieurs fois d'avoir à subir ces gloussements, ricanements, éclats de rire même, placés juste aux scènes qui n'ont absolument rien de comique : ça coupe l'ambiance du film, c'est crispant. C'est surtout insupportable de subir en ne pouvant rien dire pour ne pas en rajouter !!! On va en venir à attendre la sorties des DVD pour pouvoir visionner chez soi dans la tranquillité ...
    Mais : des belles images de l'île de Ré, des jolies promenades à vélo ... Beau documentaire, de ce côté
    Détail important : 9€ la place, contre 6,30€ - ou 5,20€ avec une carte de 10 entrées - à Bénodet, à 15 km)


    APPEL AUX GÉRANTS DES CINÉVILLES : PITIÉ POUR NOS OREILLES ! 
    Nous ne venons pas au ciné pour être agressés par ces "musiques" (?) publicitaires d'accueil au seuil de décibels insupportable ! Merci.
    Partager via Gmail Yahoo!

    2 commentaires
  • Argent, gloire et dopage : Le Sport
    Perversion marchande ou rêve de surhumanité ?

    Robert Redeker par lalibertedelesprit 
    Envahissant, saturant l’espace et le temps, le sport est vécu aujourd’hui comme une activité allant de soi. Il n’est jamais questionné, échappant à toute critique approfondie. Le sport est pourtant, en quelque sorte, le moule dans lequel notre société est formée. Il est le nouveau pouvoir spirituel. Il façonne les âmes autant que les corps. Il promeut un corps fabriqué de type inédit, quand l’âme du sportif lui a été enlevée pour être remplacée par le mental. Dans son livre, L’emprise sportive, Robert Redeker se livre à une attaque sans concession du sport contemporain. Il en dénonce les mutations, les travers et surtout les fonctions nouvelles : transformation des organismes humains, culte de la performance infinie, ersatz de religion, substitut de relations internationales. Les sportifs sont-ils des mutants ? Le sport est-il l’usine où se fabrique un nouveau type d’être humain ?
    Le sport est-il un reflet de nos sociétés ? Doit-on l’envisager comme un idéal de nos sociétés démocratiques ou une ruse pour abreuver le peuple de « pain et de jeux », comme dans la Rome antique ? Lieu de transcendance mais aussi de compétition forcenée, le sport est un sujet central qui touche à de nombreux domaines : au spectacle comme à la santé, à la solidarité comme à la compétition, à la technique du corps comme aux technologies de la performance.

    Agrégé de philosophie, Robert Redeker a notamment publié Le Progrès ou l’opium de l’histoire (Plein Feux, 2004), Nouvelles figures de l’homme (Le Bord de l’eau, 2004), Il faut tenter de vivre (Seuil, 2007), Egobody. La fabrique de l’homme nouveau (Fayard, 2010) et L’emprise sportive (François Bourin, mai 2012). Certains de ses ouvrages sont traduits en anglais, espagnol, italien et danois.
    Son site Internet, www.redeker.fr, recense ses nombreux livres et articles.
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    1 commentaire
  • Lundi 21 janvier 2013, ou 
    "duodi de Pluviôse, an CCXXI de la République" ?

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    3 commentaires





  • Nous revenons de qui est, pour nous, le Sud, "ensoleillé, chaud", remonteur de moral et "toute cette sorte de choses" : la Charente-Maritime, et la Gironde.

    Nous sommes partis (très) bien accompagnés : Taquine (dite aussi Pépette, ou Poupette, ou Pipelette), ravissante Westie de 10 ans (que nous avons recueillie il y a un mois à la SPA de Concarneau) nous a tenu compagnie, et fait à présent partie de la famille !
    Donc, CHALEUR ... dans les coeurs, disons.
    Nous avons découvert les Sables d'Olonne, son port très agréable et photogénique. Mais personne encore à l'horizon ... (notre Armel Le Cleach, second actuellement, habite à quelques kilomètres de chez nous, alors allez Armel !)
    Puis Bordeaux, découverte aussi : belle ville majestueuse, que nous nous promettons de revisiter à une période plus clémente.
    Le retour Bordeaux-Nantes fut assez ... lent (même sur autoroute !), mais nous ramenons de bons souvenirs et des photos (sans les températures ...).

    Notre album-photo, ICI

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    1 commentaire
  • Notre coup de coeur de ce matin : 
    le blog de Pierre Lavallée
     http://memoirechante.wordpress.com/2013/01/12/jacques-douai-lamour-de-moy/
    Jacques Douai – L’amour de moy
    by Pierre Lavallée
    Aujourd'hui, je vous propose de remonter dans le temps... Sans doute, une des plus vieilles chansons d'amour que nous ayons gardé en mémoire, la chanson "L'amour de moy" a été écrite au XIV siècle. L'auteur du poème est, hélas, resté inconnu...
    La chanson "L'amour de moy" a été interprétée par de nombreux chanteurs, dont Nana Mouskouri (sur son album "Vielles Chansons de France"). Elle est sans doute celle qui a le plus contribué à faire connaître la chanson. Mais je garde un attachement particulier pour l'inteprétation que nous a donné de cette chanson, Jacques Douai. Véritable troubadour des temps modenes, le timbre de la voix de Jacques Douai, est en parfaite harmonie avec les mots surranés de cette très vieille chanson d'amour.
    Partager via Gmail Yahoo!

    1 commentaire
  • postheadericon Café Cabaret Run Ar Puñs


    ·             Ouvert du Mardi au Samedi à partir de 18h00
        Café Cabaret Run Ar Puñs        Café Cabaret Run Ar Puñs
    Isolé dans la campagne entre versant boisé dominant le canal de Nantes à Brest et parcelles agricoles, le projet s’attaque à la transformation d’une des ailes enserrant la cour de ferme. Différents aménagements et extensions se succéderont pour adapter le lieu à sa nouvelle fonctionnalité tout en préservant la façade et le caractère du bâti. La scène trouve naturellement sa place, le côté cour donne sur la cour, le côté jardin sur une terrasse engazonnée. Comptoir, cheminée et matériaux traditionnels participent à l’intimité et à la convivialité de l’espace public, qui permet toutefois d’accueillir 350 personnes.
    Café Cabaret Run Ar Puñs   Café Cabaret Run Ar Puñs
    De petite capacité, le lieu facilite le contact entre la scène et la salle, entre l’artiste et le spectateur. Les représentations sont marquées du sceau de l’authenticité et de la proximité.

    Ouvert du Mardi au Samedi à partir de 18h00.
    Contact :
    Café Cabaret Run Ar Puñs
    Route de Pleyben
    29150  Châteaulin 

    "DEMANDEZ LE PROGRAMME !" : c'est ICI
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    2 commentaires




  • Une étudiante de 23 ans est morte après avoir été violée par six hommes pendant des heures dans un bus. Pour de nombreux défenseurs des droits des femmes, c’est l’agression de trop. Soutenez le mouvement de protestation en Inde et demandez au gouvernement indien de renforcer les lois pour la protection des femmes tout en lançant une grande campagne de sensibilisation afin de changer profondément les mentalités qui favorisent ces violences:

    Signez la pétition
    Elle n’était qu’une simple étudiante de 23 ans qui voulait prendre le bus le mois dernier, à Delhi, quand six hommes ont verrouillé les portes et l’ont violée sauvagement pendant plusieurs heures avec une barre de fer avant de la jeter, nue, dans la rue. Après s’être battue courageusement pour rester en vie, elle est morte samedi dernier.

    Dans toute l’Inde, des citoyens organisent d’importants mouvements de protestation pour que ces agressions cessent. En Inde, une femme est violée toutes les 22 minutes, et seule une infime fraction d’entre elles voient ce crime condamné par des juges. Dans le monde, on estime que 7 femmes sur 10 seront agressées physiquement ou sexuellement au cours de leur vie. L’horreur du drame de Delhi est la goutte d’eau qui fait déborder le vase: aujourd’hui, en 2013, il est temps de déclarer la guerre aux agressions physiques envers les femmes. Nous pouvons gagner notre première bataille en Inde.

    Le gouvernement, qui a convoqué une commission extraordinaire, est encore à l'écoute des propositions citoyennes pendant 24 heures. Il faut instaurer de toute urgence un meilleur suivi judiciaire et un programme de sensibilisation pour changer les comportements masculins qui engendrent des violences envers les femmes. Avec un million de signatures, nous pourrons faire en sorte que les tortures subies par cette jeune étudiante restent à l’avenir un cas isolé.

    http://www.avaaz.org/fr/inde_la_fin_des_violences_aux_femmes/?bRkXxab&v=20675

    Le meneur de la bande d’hommes accusés du viol a déclaré que l’étudiante avait mérité son sort car elle avait osé lui tenir tête. La culpabilisation de la victime et ces comportements indignes sont courants dans la société indienne, y compris dans la police, qui néglige régulièrement les affaires de viol. Dans le monde entier, ces attitudes participent à la répression des femmes et encouragent certains hommes dans leurs violences. Par le passé, des campagnes d’éducation citoyennes dûment financées par les pouvoirs publics ont prouvé leur impact sur certains problèmes de société comme le tabac ou l’alcool au volant. Elles peuvent changer la situation des femmes. Nous devons nous attaquer aux causes de cette véritable épidémie de viols en Inde, renforcer les lois et accélérer les procédures légales.

    En Inde, l’espace publicitaire est relativement bon marché. En rassemblant des fonds suffisants, nous pourrons envahir les ondes et toucher différents segments de population. Les publicités devront s’adresser aux spectateurs les plus misogynes en jetant l’opprobre sur leur comportement. Nous voulons faire porter notre message par des personnalités, comme des stars du sport qui bénéficient d’une certaine autorité morale.

    Nous n’avons qu’une journée pour convaincre la commission d’enquête sur les violences sexuelles. Les progrès réalisés en Inde pourront à leur tour inspirer d’autres pays. L’argent dépensé dans cette campagne sera largement remboursé par la réduction de la pauvreté et par le développement économique, car nous savons aujourd’hui que l’autonomie des femmes est l’un des plus grands moteurs du progrès social et économique. Cliquez ici pour envoyer directement un message au gouvernement indien:

    http://www.avaaz.org/fr/inde_la_fin_des_violences_aux_femmes/?bRkXxab&v=20675

    Les membres d’Avaaz sont depuis longtemps en première ligne dans la guerre contre les violences faites aux femmes: après s’être opposés à la lapidation en Iran, après avoir soutenu le droit des femmes à disposer de leur corps au Maroc, en Ouzbékistan et au Honduras, après avoir appelé à la lutte contre le trafic des femmes, les membres d’Avaaz entament la nouvelle année avec détermination pour apporter un nouvel espoir aux femmes indiennes.

    Avec espoir et détermination

    Emma, Ricken, Luis, Meredith, Iain, Ian, Marie, Michelle, Alaphia, Allison et toute l’équipe d’Avaaz

    POUR EN SAVOIR PLUS:

    Inde: la police inculpe les agresseurs présumés de l’étudiante violée (Le Monde)
    http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/01/03/inde-les-agresseurs-presumes-de-l-etudiante-violee-devant-la-justice_1812357_3216.html

    Inde: la situation va-t-elle changer dans « le pire pays pour les femmes »? (Sud-Ouest)
    http://www.sudouest.fr/2013/01/03/viol-en-inde-la-situation-va-t-elle-changer-dans-le-pire-pays-pour-les-femmes-924426-4803.php

    L’Inde s’effare des viols: 1 policier mort, 1 pays traumatisé (Rue 89)
    http://www.rue89.com/2012/12/24/linde-seffare-des-viols-meme-la-peine-de-mort-serait-trop-douce-238089

    70 % des femmes subiront des violences physiques ou sexuelles au cours de leur vie (rapport de l’ONU)
    http://www.un.org/en/women/endviolence/pdf/apromiseisapromise.pdf

    Viols, meurtres, avortement des foetus féminins... La femme, ce sous sous-continent indien (Slate)
    http://www.slate.fr/story/66515/viol-inde
    http://www.avaaz.org/fr/inde_la_fin_des_violences_aux_femmes/?cRkXxab
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • "Le vrai changement, c'est quand ?"
    François Béranger, 1998 ...
    (no comment ...)


    François Béranger -L'état de merde (1998) par Tushratta

    Mieux connaître François Béranger : ICI 
    Partager via Gmail Yahoo!

    2 commentaires

  •  
    "Etre SDF, c'est devenu honteux. Ce qui dérange la société, c'est que nous sommes ses victimes. En nous, elle voit ses mauvaises notes, ses erreurs accumulées, son égoïsme, ses poubelles qu'elle ne sait pas où vider, les preuves vivantes de son échec."

    Lydia Perréal (1973- )

    à lire : J'ai vingt ans et je couche dehors. Le combat quotidien d'une jeune SDF (1995)

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    2 commentaires