• Ceci est extrait de la revue "Libres" 
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  • 10-11-11--Monument-au-mort-Primelin-09-05-Bretagne-Ballade-.jpg
    Un des (de plus en plus nombreux) monuments pacifistes, à Primelin, Finistère

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  • Ce blog se nomme "Ecrimages" ... 
    Il se doit donc de vous proposer ... des textes, qui inspirent des images, ou vice-versa !
    J'ai commis un certain nombre de "choses", il y a une dizaine d 'années, à des moments où la maladie et divers écueils m'ont conduit, pour ne pas sombrer, à fréquenter assidument un atelier d'écriture "en chair et en os" (bien avant que je sache ce qu'était un blog !). Je rends donc un grand hommage à l'atelier d'Agnès, et je précise donc que je rappellerai, dans les prochains textes, la "consigne" qui en a été le prétexte.

    Dans le texte suivant : Il fallait commencer par "La bonne nouvelle tenait en quelques mots". Oui, c'est tout, le reste était entièrement libre, et je ne m'en suis pas privé ...
    ..................................................................
    La bonne nouvelle tenait en quelques mots.

    J'ai fait récemment un rêve merveilleux… ou inquiétant ?

    La bonne nouvelle tenait en quelques mots : « Jean s'est levé ce matin, et il a marché, droit vers le large »…
     Le fauteuil roulait vers la mer, rien ne semblait l'arrêter sur la pente du slipway, sinon quelques restes de bois mort, des laisses de mer entassées là par la dernière grande marée. Il ne faisait aucun geste, semblait avoir décidé de rouler vers son destin, car sa maladie lui avait enseigné depuis longtemps le fatalisme. Il suivait, à pas lents, son fauteuil devenu inutile, ne jeta même pas un regard vers son passé, vers cette bâtisse sur le port, cette maison qui serait toujours - lui avait-on répété si souvent – « notre maison de famille ».
    Puis… je ne me souviens plus : a-t-il fait demi-tour, courant presque vers nous, ou bien a-t-il disparu dans les vagues ? Je me suis éveillé, trempé de sueur (ou d'eau salée ?), des algues plein les yeux.

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  • (Cliquez sur les photos pour une lecture plus confortable)
    Notre groupe de Quimper d'Amnesty International 
    y sera représenté. 


    Amnesty International à Quimper

    QUI SOMMES - NOUS ?

    Londres, 28 janvier 1975 :
    « Chers amis, nous sommes très contents d’apprendre que vous allez constituer un nouveau groupe d’Amnesty en France.
    Ci-inclus les dossiers de 2 prisonniers : Leonidas D... (Grèce) et Le Dai N...(Sud Vietnam). Un 3ème cas, vous sera envoyé aussitôt que possible ».
    Quimper, 12 octobre 2012 : le groupe existe depuis cette date, sans interruption, avec  toujours cette volonté bien ancrée d’agir en faveur des victimes de violations des droits de l’homme. D’autres cas nous mobilisent mais c’est la même solidarité qui s’exprime.

    Organisation d'un concert pour le 50ème anniversaire d'Amnesty International 
    NOS PRINCIPALES ACTIVITES

    - Sensibilisation du public : tenue d’une table de presse à l’occasion de festivals, marchés, conférences, manifestations diverses (Semaine de la solidarité internationale par exemple ou évènements locaux à l’initiative de partenaires associatifs ou institutionnels).
    - Sollicitation de nos élus et demande d’interventions au Parlement pour relayer les préoccupations d’AI.
    - Education aux droits humains en milieu scolaire et tables d'informations en milieu universitaire
    - Participation au réseau d'Actions Urgentes.


    NOS PLUS BELLES ACTIONS ?

    - 1998 - 50ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
    - Mise en scène de la lecture des articles par des collégiens.
    - 40ème anniversaire d’Amnesty - théâtre sur la peine de mort au USA.
    - Exposition de l’Art contre l’oubli – des artistes bretons (peintres, sculpteurs) s’engagent pour les droits de l’homme.
    - 50ème anniversaire d’Amnesty – concert (chants Gospel et danses).

    Au festival des Vieilles Charrues : depuis  2007, tenue d'un stand.

    POURQUOI REJOINDRE NOTRE GROUPE ?

    De Londres à Santiago, de Sydney à Kampala, de Quimper aussi, nous pouvons tous contribuer à faire avancer les combats d’Amnesty International : pour la libération des prisonniers d’opinion, l’abolition de la torture et de la peine de mort, la défense des droits humains dans la lutte contre la pauvreté. Chaque citoyen, où qu’il se trouve, peut agir pour que les droits de tous soient respectés et protégés.
    LIEU ET FREQUENCE DES REUNIONS :
    Le dernier mardi de chaque mois à 20h, Espace associatif – 53, Impasse de l’Odet  à QUIMPER
    POUR NOUS CONTACTER ?
    Ecrivez-nous à : amnesty.quimper@yahoo.fr
    Vos contacts téléphoniques : Monique : 02.98.52.12.16  ou Annie : 02.98.53.19.64
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  • Fichier:Pont de Recouvrance de Tour Tanguy.jpg
    Brest, pont de Recouvrance

    Ferrailler, faire, ailleurs ...

    Il avait 60 ans, quand il s'en est allé. Dans un cercueil plombé. Toute sa vie, d'ailleurs, aura été « métal ». Le métal du déambulateur qu'il poussait devant lui, péniblement, à la maison, depuis ses 54 ans, depuis sa mise en préretraite. Le métal de sa voix, détruite par la maladie… Métal, vissé dans les jambes, qui le tenait debout.
    Métal de ses outils, choc fer-acier. Métal Mobylette, qu’il m'a appris à démonter. Métal des lourdes portes qu'il franchissait pour se rendre au travail et aussi acier des fusils devant lesquels il passait deux fois par jour.
    Boîte métallique que j'ai gardée, écrin de ses souvenirs de prisonnier d'Allemagne. Train, convoi, bateau, sous-marins, tube lance torpille, Hamburg, Dresden, U-boote, Kriegsmarine, bombes, Brest, mitraille, puis le feu, de fer. 
    Métal, froid, douleurs, tout est gris, glacial, en Allemagne, en Bretagne. Brest, Dresde, mêmes ruines.
    Il n'avait pas choisi cette vie construite autour du métal de la guerre. Il adorait le bois.
    Il avait les yeux bleu intense. Mais il ne fallait surtout pas lui parler de son  « regard d'acier » !
    J'ai aussi les yeux bleus. Et j'ai 60 ans. Et je déteste les maquettes.

     U-Boot Type XXI U 2540 & InterieurJeanne d'Arc (R97)Porte-avion US Aircraft Carrier Yorktown - (CV-5)


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  •  
    Fanch ar Ruz, dessinateur breton, nous propose un retour 
    sur ce festival de la BD engagée. 
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  • Partie 1 et 2. Anouk Grinberg était très connue à l’époque (1992). Et oui il y avait du théâtre à la télévision ! Cette pièce est actuellement introuvable, pourtant la mise en scène est de Patrice Chéreau.
    Les années 90 c’était hier, un air respirable, à mon avis, simple.. les choses se passaient sans y penser. On étudiait, n’importe quoi, on n’était pas inquiet. Il y avait de la culture à la télé, la preuve. Bush ensuite a tout écrasé. On peut dire que de là s’est propagé une angoisse Orwelienne, avec la main mise sur les média US après le 11/Sep, et depuis le monde est devenu insupportable et clivé, entre des médias expurgés de toute référence culturelle, et aux ordres, et ceux qui n’étaient pas d’accord. L’amérique folle, les républicains insupportables, et tout ce délire a fait chavirer la raison que l’on ne retrouvera jamais.

    Merci à "Lisztnet"

     Le Temps et la Chambre
    De Botho Strauss
    Mise en scène : Patrice Chéreau

    Texte français : Michel Vinaver
    Décor : Richard Peduzzi
    Costumes : Moïdele Bickel
    Lumières : Dominique Bruguière
    Son : Philippe Cachia
    Maquillage et perruques : Kuno Schlegelmilch
    Avec Marc Betton, Roland Blanche, Marc Citti, Laurence Cote, Pascal Greggory, Anouk Grinberg, Jean-Pierre Moulin, Bulle Ogier, Bernard Verley
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  • Nous sommes abonnés à cette mine des "Liens utiles"
    un des sites les plus anciens du Web, que gère magistralement François :

    et nous y trouvons aujourd'hui une perle  
    pour tous les amateurs de lecture et d'écriture :

    au plaisir de vous y retrouver !
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  • A Pézenas (Hérault), vous êtes accueilli à la bonne franquette (de veau ...), au "musée Boby Lapointe". La dame de l'accueil semble tout droit sortie de sa famille directe, et, en tous cas, le connaît bien personnellement ... C'est du moins (et c'est ce qui compte) l'impression ressentie, dans ce lieu d'une chaleur humaine rare, qu'on peine à quitter (comme ta Katie)  ...



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  • On ne rigole pas: l'Institut de twittérature comparée de Bordeaux-Québec organisait, ce mardi, le 1er Festival international de twittérature.
    La page d'accueil de Twitter (JAUBERT/SIPA)
    La page d'accueil de Twitter (JAUBERT/SIPA)
    Sur le même sujet
    La twittérature gagne du terrain. Rappelez-vous, en 2010, on vous avait déjà touché deux mots de la chose, née à Chicago, où des étudiants avaient entrepris de résumer en 140 signes les chefs-d’œuvre de la littérature. Tout ça pour surfer sur le succès grandissant du site web qui limite votre pensée à quelques mots: Twitter.
    Depuis c’est devenu du sérieux. Ce 16 octobre, la ville de Québec, au Canada, a ainsi accueilli le 1er Festival international de twittérature: le 140MAX. Organisé par l’Institut de twittérature comparée de Bordeaux-Québec (véridique), il a consisté en une série de tables rondes où les intervenants ne sont pas limités à 140 signes. Dommage? Il faut dire que les thèmes abordés étaient extraordinairement savants: «la théorie du gazouillis», «la pédagogie du gazouillis» ou encore «le volet artistique et littéraire de la twittérature».
    Outre ces grandes discussions, un concours a surtout été ouvert aux écoliers de plus de cinq pays, dont la France. Il s'agissait de décrocher «le tweet d’or». L’équivalent du Prix Nobel dans le milieu. Mais, chut, on ne peut pas dire du mal des enfants.

    Extension du domaine de la twittérature

    Il est plus étonnant de constater que le tweet est une affaire d’Etat au Québec. En effet, il est perçu comme un moyen de remettre les élèves sur les rails de l’écriture et de la littérature. Si bien que l’un des organisateurs du festival, Jean-Yves Fréchette, a raconté à nos confrères du journal «La Presse» son expérience éducative:

    J’ai participé, l’an dernier, à projet du Ministère de l’Education pour créer un logiciel qui intègre la twittérature dans les classes du primaire, du secondaire, et du collégial. C’est un médium qui plaît aux jeunes. Imaginez, les profs leurs disent qu’ils peuvent amener leur iPod en classe.»
    Toujours lui, qui se présente comme l’un des précurseurs de la twittérature québécoise, a même tapé dans l’œil du Ministre de l’Education Nationale:
    C’était il y a deux jours. Il était minuit moins quart, j’étais sur le point de me coucher. Je vois que Pierre Duchesne me retweete, le nouveau ministre. Merde, je parle à Pierre Duchesne!»
    Et qu’a donc relayé, ce nouveau ministre? «L’intelligence transversale du métal ne pénètre jamais au cœur des synapses. L’équation du romantisme demeure nébuleuse pour les automates.» Signé Fréchette, le Maurice G. Dantec de Twitter.

    Les tweets d'or tant attendus

    Mais oublions un peu cette littérature futuriste. Et rendons plutôt grâce aux lauréats du «le tweet d’or», d'autant qu'il y a parmi eux des Français. Cocorico.
    Dans la catégorie des 5-7 ans, donc:
    Le futur, c’est comme un beau cadeau sous le sapin de Noël. C’est un peu comme une surprise car on ne sait pas ce qui va arriver.»
    Pour les primaires, c’est un petit Parisien qui a fait mouche:
    Demain, la Terre deviendra carrée et si quelqu’un s’aventure sur les angles droits, il deviendra lui aussi un cube.»
    Et enfin, la crème de la crème, le meilleur d’entre tous:
    L’ordinateur, la tablette, le téléphone mobile, le MP3, les réseaux sociaux. Le futur, c’est une série de mises à jour en continu.»
    Merci aux collégiens de Laurentides, non loin de Québec. Et encore bravo.
    Nicolas Guégan

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  • vendredi 26 octobre 2012 - 20h00
    salle "Le Terrain Blanc" de la MPT de Penhars à Quimper (plan)

    CONFÉRENCE-DÉBAT Le travail, une valeur en crise ?

    Dominique Méda

    Dominique Méda, sociologue et philosophe, travaille depuis plus de 15 ans sur la place du travail dans la société, l’emploi des femmes, la relation entre le travail et la création de richesses, le modèle social français. Son dernier livre, « Travail, la révolution nécessaire », est paru aux Éditions de L’Aube en 2010.

    Comment évolue la valeur accordée au travail, depuis l’entrée dans la vie active jusqu’à la retraite ? Dans le même temps, les statuts de l’emploi (CDD, CDI, intérimaires…) sont de moins en moins stables… et parfois mobiles. Sans parler du chômage, une réalité vécue comme une menace, pour soi ou pour la famille. Et la crise économique n’arrange rien…
    Nombreux sont ceux qui cherchent du travail, notamment les jeunes ; certains en changent… régulièrement, d’autres restent attachés à leur emploi par envie de faire carrière ou par peur de le perdre. Certes, l’offre de travail comme la demande varient en fonction de la situation économique, mais pour autant, le marché du travail est-il un marché comme les autres ? Et les travailleurs une variable d’ajustement au motif d’une flexibilité souvent difficile à accepter ?
    Avec Dominique Méda, nous chercherons à mieux comprendre les questions liées à la place du travail dans la société et dans la vie de chacun :
    • Le travail, valeur individuelle ou collective ?
    • Une source d’épanouissement ou un mal nécessaire qui fait aussi souffrir ?
    • Comment trouver l’équilibre entre le travail, l’activité professionnelle et la vie familiale comme la vie personnelle ?
     Entrée : 8 € - 6€ pour les adhérents - 3 € pour les étudiants et chômeurs

    La Liberté de l'esprit
    La liberté de l'esprit est une association qui depuis plus de 20 ans s'est donné comme objectif d'animer le débat citoyen sur des questions de société à Quimper et plus largement en Cornouaille.

    Les conférences sont souvent enregistrées et sont disponibles sur le site internet où vous avez la possibilité de contribuer au débat en y déposant vos commentaires

    Votre adhésion à l'association permet de la renforcer et de soutenir celles et ceux qui l’animent ainsi que de participer à son fonctionnement (10 € / an )

    Pour plus d'information sur l'adhésion, voir sur le site internet à l'adresse ci-dessous :

    Lettre d'information de l'association "La liberté de l'esprit"
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  •  Edmond Blattchen reçoit Jacques Salomé (2008).

    Né à Toulouse en 1935, Jacques Salomé est à la fois psychosociologue et écrivain.

    Depuis plus de 40 ans, il se consacre avec passion à l'amélioration des relations entre les êtres humains (dans le couple, dans la famille, à l'école, au travail, notamment). Un thème qu'il a développé et décliné dans de nombreux ouvrages, tous couronnés par un immense succès. Parmi ses livres les plus connus, citons : "Parle-moi, j'ai des choses à te dire", "Si je m'écoutais, je m'entendrais", "T'es toi quand tu parles" ou encore "Pour ne plus vivre sur la planète taire". En tout plus de 50 volumes !
    Au-delà de ces titres aux accents résolument poétiques, Jacques Salomé a défini les principes d'une méthode de communication unique en son genre, le système E.S.P.E.R.E., objet d'études pédagogiques dans de nombreuses universités.
    Le rêve de Jacques Salomé, c'est que son modèle de communication soit un jour prochain enseigné dès l'école maternelle. Pour permettre aux enfants de devenir demain des citoyens en paix à la fois avec eux-mêmes et aussi avec les autres. Pour assumer pleinement, et en toute conscience, leur destin d'êtres planétaires. Auteurs de leur propre vie et coauteurs de l'histoire de demain !


     LA VIDEO (54 minutes), ICI

    Merci à Emma, blog "&perluette", http://eperluette.over-blog.com/

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  • Junior Wells - "Hoodoo Man Blues" 
     
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  •  "Tous les matins, ...", il ne va pas en ramener avec son "petit pain au chocolat" !
    Dans le blog "Nos enchanteurs", Joe Dassin et Copé ... ! :
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  • 80% de réussite, par l'OPÉRA PAGAÏ

    Fin de la récréation, la cloche a sonné! Rendez-vous en rang, deux par deux, sous le préau de l’école Ferdinand Buisson à Quimper. Les feuilles mortes dans la cour, l’odeur de la pluie automnale, tout y est. Vous voilà prêts à revivre une matinée de rentrée des classes peu ordinaire dans la peau d’un élève.

    à voir ICI
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  • Nous n’avons aperçu le Mont Saint-Michel que de loin, car il n’était pas à notre programme, ce matin. Ayant franchi le Couesnon, voici donc la Normandie, et, pour commencer, le département de la Manche, que nous allons découvrir totalement. Premier arrêt à Coutances, où la majestueuse cathédrale côtoie des bâtiments « années 50 » de l’époque de la reconstruction de l’après-guerre.



    Nous rejoignons la côte, et posons notre sac à Agon-Coutainville, joli site où nous profitons de la piste cyclable et de l’aire de camping-cars superbement aménagée …
    Sous un soleil magnifique « après dissipation des brouillards matinaux » (tiens, comme en Bretagne !), nous parcourons une centaine de kilomètres, sur des routes très agréables – bien que parfois étroites - et nous découvrons toute la côte est du Cotentin : Barneville-Carteret (chance : c’est jour de marché !), les Pieux, le Rozel (belle plage). Nous passons (très vite) à Beaumont-Hague après Flamanville et du centre AREVA (retraitement des déchets nucléaires) de la Hague … Notre journée se termine au Nez de Jobourg et Voideries : petites routes pittoresques, spectacle grandiose, puis au Cap de la Hague. 



    Après une halte à Port-Racine (le plus petit port de France), nous bivouaquons au camping d’Omonville-la-Rogue (un port en eau profonde, où des gamins « font la bombe » du haut du quai …).




    Des virages, des montées et descentes surprenantes empruntées par des cyclistes assez intrépides inspirés par les « casse-pattes » … : voilà les petites routes qui nous mènent en ce dimanche à Cherbourg. Un dimanche, dans toutes les villes, ce n’est pas le bon jour ! calme (un peu trop sans doute), et nous sommes aussi assez surpris par la taille de la ville, que nous imaginions bien plus grande.



    Des rôtisseurs de poulets et de (gros !) gigots nous tentent à chaque coin de la ville, que nous quittons après avoir dit au revoir à un grand bateau à voile qui quittait (au moteur) le quai. Nous décidons de ne pas visiter la Cité de la Mer, car nous désirions voir seulement l’exposition « Titanic » … (Nous n’étions pas du tout – mais alors pas du tout !- intéressés par le sous-marin « le Redoutable » (Originaire de Brest, Loïc connaît ce qui concerne la Marine nationale et les « bateaux gris » !). Un petit détail surprenant : à l’office du tourisme, on nous informe que « désormais tout est fermé, car l’été est fini ! » (nous sommes le 9 septembre, et nous nous permettons de rappeler que l’été, c’est … jusqu’au 21 !)
    Nous poursuivons notre tour du nord-Cotentin (toujours la mer à gauche !) par un arrêt au très joli port de pêche de Barfleur, où nous assistons à la « débarque » et nous laissons tenter par de superbes pinces de dormeurs (« tourteaux »). Nous passons la nuit à Saint-Vaast-la Hougue.



    Une pluie aussi inattendue que forte, ainsi qu’un vent fort et du brouillard, nous dissuadent d’une excursion à Tatihou : ce n’est que partie remise !
    Nous nous éloignons (un peu) de la mer pour visiter le « Versailles normand » de Valognes (ville-martyr du débarquement), puis, nous retrouvons (après 25 ans) Sainte-Mère-Eglise et ses nombreux touristes, Britanniques pour la plupart.



    A Saint-Côme du Mont, à la Maison du Marais du Cotentin et du Bessin, nous apprécions particulièrement l’accueil, et le film.
    Nous finissons notre journée par (encore la mer !) Port-en-Bessin-Huppain et ses cornes de brume …
    Voici Crépon, charmant village, d’où nous ramenons un parapluie, fabriqué chez « H2O ». 





    A Bayeux, nous retrouvons la fameuse Tapisserie, et la ville, très accueillante et vivante. 



    Puis dodo à Arromanches, après le visionnage en « cinéma 360 » d’un film émouvant, très humain. Le lendemain matin, le musée du port artificiel nous accueille.
    Ah, la Normandie … Mais Paris nous attend ! aussi, nous mettons le cap vers Anet (Eure-et-Loir ), avant le Bois de Boulogne qui va (enfin, son camping) nous accueillir durant quelques jours.
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  • Nous sommes rentrés de notre virée dans le sud de la France avec déjà, en tête, l’idée de repartir …
    Mais nous avons aussi une vie de famille ... ! 
    Nous sommes donc restés tout un mois d’été, à la maison (ou presque, car nous sommes partis une semaine avec nos enfants et petits-enfants, en camping, près d’un parc de loisirs : un rêve, bien sûr, pour nos « razmokets », rêve devenu réalité).
    Pour ce mois de septembre : Nous avons rendez-vous, au milieu du mois, avec un incontournable rassemblement, dont nous reparlerons … Disons, pour l’instant, que cela se passe à Paris.
    Nous décidons, au début du mois, de visiter, cette fois, des parties (il y en a beaucoup !) du nord de la France que nous ne connaissons pas, ou mal (mais … connaît-on un jour un lieu « à fond » ?)
    Nous voici donc en route vers la Normandie ! Nous sommes partis, le premier jour, de Quimper, pour nous arrêter un peu à Pontivy, au centre du Morbihan, et nous sommes arrivés l’après-midi à Cancale, capitale des beaux paysages marins, mais surtout … des huîtres ! Nous nous sommes (évidemment !) attablés le soir devant un repas … mais arrêtons de vous faire saliver. Nous avons pu – cela, nous pouvons le dire – déguster tout à fait normalement les mets proposés, malgré le « goûter » assez original consistant à nous partager une douzaine d’huîtres, assis sur un mur, sur un quai du port … et ceci, un quart d’heure après avoir dégusté une glace ! Honte à nous … mais un peu seulement !



    La spécialité de Cancale : On se procure directement les huîtres sur le port, et on les déguste immédiatement !
    Vous remarquez ici la présence de notre Yffig, qui nous accompagne durant toutes nos virées : il est en quelque sorte notre "nain de jardin" façon Amélie Poulain, mais ... à la Bretonne, avec son ciré Cotten !


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  • De Villars-de-Lans, nous joignons Lans-en-Vercors, puis Saint-Nizier et Seyssins, nous atteignons Grenoble par la route de montagne.


    Ici, nous rendons visite à nos enfants durant trois jours : Quel bonheur !


    Nous montons vers Saint-Pierre en Chartreuse avant de nous installer au camping international de Lyon.


    Nous n'avons jamais vu cette ville : Nous prenons donc nos sacs à dos, et "en route" (en bus !) pour une découverte du Vieux Lyon, très attachant, que nous nous promettons de retrouver lors de notre prochaine venue à Grenoble.



    Nos autres photos, ICI


    A la suite de cette visite : Un "incident technique indépendant de notre volonté" (et surtout de celle d'Annie) s'est produit : Sa cheville, déjà bien mise à l'épreuve ces derniers temps, a décidé de ne plus participer ...
    Et, plutôt que de risquer l'aggravation de la "fracture de fatigue", nous décidons d'accélérer un peu la fin de notre périple.
    Nous ferons cependant étape à Moulins,  à Saint-Pourçain, au Bec d'Allier, et, pour une dernière nuit, à Bouchemaine, avant de rallier la pointe de la Bretagne ...

    Moulins et sa région :  http://www.moulins-tourisme.com/fr/index.htm 

    Le Bec d'Allier :  http://bourgogne.tourisme.free.fr/news/cruebec2001.htm


    Voici donc notre voyage de cet été terminé ...

    Vous savez quoi ? Nous nous préparons pour un autre départ, très bientôt ... !

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  • Le "Palais idéal du facteur Cheval" (à Hauterives, Drôme) :
    Même si nous "connaissions" (c'est à dire qu'on en avait entendu parler, et qu'on en avait vu quelques images ...) : C'est époustouflant !

    "Beau" ? question incongrue ! "sujet philosophie" du Bac, usé jusqu'à la corde ...



    Le site officiel : 




    et d'autres photos, ICI





    Après cette visite qui va certainement "laisser des traces" ... : 
    Pont-en-Royans, et ses maisons suspendues.



    Le 15 juillet : Journée du Souvenir dans le Vercors.
    Des routes magnifiques (gorges de la Bourne ...)
    A Vassieux-en-Vercors : Après un arrêt au Mémorial de la Résistance, nous visitons le Musée dédié à cette période de l'histoire de notre pays.

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    Puis nous empruntons les gorges de la Bourne pour rejoindre Villars-de-Lans. Une navette nous mène (gratuitement !) de l'aire de camping-car (très bien aménagée) vers la ville.
    Nos photos, ICI

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  • Nous quittons, le 11 juillet, Vallon-Pont d'Arc, pour faire un arrêt à la poste d'Aubenas (le jour de l'anniversaire de notre fille, il convient de lui poster un cadeau !)


    Après une visite rapide de Vals-les-Bains, nous voici à Alba-la-Romaine, très jolie petite ville, où nous assistons à un festival d'arts de rues, tout à fait "régional", charmant, et tonique !





    Nous ne faisons prier pour chanter en choeur, en guise d'ouverture, une chanson rendue célèbre par Michel Simon, dans un film ... :


    Mais ... le soleil commencerait-il à nous taper sur la tête, ou bien (tout simplement) éprouvons-nous le besoin de remonter chercher un peu la fraîche vers le nord ? ...
    Nous avons appris - d'une façon assez inopinée - que le Tour de France passe dans la région, et qu'il arrive le 13 à Annonay : Allons-y !
    Je n'ai pas vu passer cette course, je crois bien, depuis ... 1974 !
    Aussi, le 12, nous roulons tout tranquillement le long du Rhône, et nous arrivons à Annonay, au nord du département de l'Ardèche. Nous y trouvons, aidés par le très sympathique président du club de rugby local, l'aire préparée spécialement (et enfin aménagée en parking ... !) pour l'occasion.
    Annonay, grâce aux nombreux trompe-l'oeil, nous rappelle qu'elle a vu s'envoler les premières montgolfières. Mais aujourd'hui (sécurité "Tour de France" oblige, nous n'en verrons pas).





    Le 13 juillet : "Les images valent mieux que de longs discours", 
    pas vrai ?
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