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Utopie
Vous arrivez en vue d’une île : Partez dans l'utopie…Pierre Denic, "De Molène à Sein" Au loin deux péninsules se font face. En surface, trois formes bleues, un bleu d’acier, glaçant dans une eau glaciale. La plus grande forme est un sous-marin. Les deux petites formes sont l’une un Exocet, il vient d'être tiré par le sous-marin. L'autre …je ne sais pas.Heureusement un morceau de ciel est tombé sur l'eau où je ressens aussitôt un calme olympien.« Ne t'inquiète pas, l'eau et l'air du ciel s'accordent toujours » me glisse une voix très douce, presque enjôleuse. Je suis peu un peu attiré vers le fond de l'océan, et je me réfugie avec soulagement dans les entrailles de notre terre.Ici règnent le calme, la détente, le repos, le lâcher prise. Je peux m'étendre sur un roc qui se fait accueillant, souple et confortable. Je m'assoupis doucement, puis je monte à bord du sous-marin bleu, qui m'emporte dans un doux ronron…Un homme fait un signe, au loin.« Oh ! Mais c’est John Lennon ! »
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Commentaires
Merci, Jeanne. Il s'agit d'une peinture (acrylique) de Pierre Denic.Très beau texte bien inspiré.
J'aime beaucoup le rapport à la musique, avec Lennon ...
Bon week end, dans la grisaille totale ...
Bisoux, loïc
Imagine John Lennon, tout à fait... ,-) Bon W-E Loïc, JBUn très joli rêve que celui-là ! on s'évade comme on peut de ce monde brutal.
Excellent week-endque j'ai du mal trouver pour mettre un com -
parfois je pars , désolée !
une belle imagination, on peut y rencontrer des animaux qui parlent etc-- tout est possible !!
bravo ! amitiés-Il est devenu bleu ? ça doit être comme l'orange alors ....
Gros bisous dominicaux !
Lavandine
http://lorgnettedunjour.canalblog.com/
Un brin surréaliste, très poétique, je ne regrette pas d'avoir demandé une suite au premier! Merci Loïc :)Merci Alma ! La suite est en cours de livraison ...La suite ? elle était prête tout à l'heure, je venais de tout relire, et puis une fausse manip, et tout est parti...
je suis furieux, me traite de tous les noms; mais du coup ça m'enlève l'envie de recommencer : c'est le premier jet qui compte, après il n'y a plus de plaisir ...
Je m'en vais oublier ça, dans mon lit, tiens.
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beau texte d'un amoureux de la Bretagne