"The end",comme dans mon enfance, à la fin des Chaplin ou des Buster Keaton : "Non, encore !"
Ou bien, "Enfin ... !" comme à la fin de chaque navet ...
Ces deux réactions, on les cache, on se les cache, pourquoi donc ?
Alors, oui, "THE END".
Enfin une bonne décision : en finir avec ces bouffe-temps et surtout bouffe-énergie d'associations. Assos humanitaires ou autres, pompeuses de fric, pompeuses de "bonnes volontés" qui s'épuisent puis (parfois ...) peinent à se poser des questions sur le comment du pourquoi, et enfin à les poser, ces questions, quitte à mettre les pieds dans les grands plats politiquement corrects.
"On doit continuer, pour eux, les autres, là, vous savez bien, ceux qui ont besoin de nous !" : Mais c'est que tu dois culpabiliser, en plus ! alors, on reprend le collier : Tais-toi, et continue à gérer la pénurie, à gérer le silence assourdissant des vraies réponses à tes questions qui dérangent .
Eh bien, je ne marche plus, je ne fonctionne plus !
et "THE END", ce sera, comme d'habitude un appel à ... aller en voir d'autres !
C'est un vrai dédale que de prendre position entre l'envie de participer à quelque chose de beau dans l'âme, et le dégoût de constater qu'en le faisant, on est un travailleur exploité... vraiment pas facile.