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(Bl)onde
Dans le courantd'une onde pureà chevalla belle remontaitvers l'avalPure elle ne l'était plusdepuis longtempspas plus que l'eausur ses cheveux blondsl'eau puredu courantpas si sûrmon enfantMéfie-toi des blondesqui jouent du pipeauL'eau de l'avall'eau de l'amonttout est pipéjeux de dupesous les jupesjeux de désTu es ruinéMéfie-toi des blondesqui jouent du pipeau
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Commentaires
1TmorMercredi 1er Février 2017 à 15:37La chute est drôle. Plouf.RépondreC'est vrai, il faut toujours se méfier. :))
J'aime beaucoup ton poème, Loïc.
Passe une douce journée.Oh, mais c'est que tu leur en mets un seau, aux blondes, Loïc ! Du moins à celles qui jouent du pipeau, nuance, de taille ... Ne trouve grâce que le cheval ;))) ! Poème percutant, accusateur, il n'y a pas que les blondes qui jouent du pipeau et troublent l'onde et la nature, bravo ! Bises.Il fallait bien, Lenaig, trouver un bouc émissaire ! (blond, le bouc).Très juste et nous les brunes, ne sommes que douceur et pureté :))Ben voyons !
Dites-moi, est-ce vrai qu'il n'y a qu'en Bretagne que les vieilles dames - en principe - affirment que "les rousses, ça pue ... ?"Rhooo "ça" pue pas plus que les autres quand elles se lavent et si tel était le cas les roux aussi!
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